RDC/ INFOX : diffamation sur le ministre WATUM, un professionnel des médias cède aux caprices de la famine

Le métier de journaliste est noble. Et le journaliste est " un grand monsieur " dit-on. Cette noblesse de la profession et la grandeur de son pratiquant riment avec le professionnalisme, le respect d'éthique et de déontologie de la profession. Malheureusement, ce noble métier est de nos jours envahi par des moutons noirs en quête du pain quotidien bafouant toute règle de l'art pour le seul intérêt de se faire une épaisseur pécuniaire tout en se déversant dans les chantages aux bons citoyens. Dans ce lot de la médiocrité et de la bassesse excelle Joël Cadet dont la qualité de journaliste doit à ce jour être remis en cause. D'abord en raison de la qualité du travail d'informer le public qu'il n'assure pas puisque peut-être pas suffisamment capable, ensuite parce depuis belle lurette il fait preuve d'une personne de mœurs dépravées.
Un journaliste à l'injure facile, sans respect des autorités établies, qui trahit toute confiance lui faite et qui dans l'exercice de la profession ignore la notion de "deux sons de cloche" pour ne se contenter qu'à distiller les fausses informations et diffamation parce que servit par ses maîtres, il y a alors à se demander si l'on doit continuer à lui reconnaître cette qualité de professionnel des médias. Un faux donneur de leçons, Joël Cadet devait en principe faire l'acte de contrition pour se faire pardonner ses péchés pour lesquels il allait être crucifié par les professionnels de la craie blanche à qu'ils ont administré les supplices dignes des citoyens pernicieux. Si l'affamé joue les sales coups pour classer dans leur rang des dignes citoyens soucieux du développement de la République, les professionnels de médias assermentés et aguerris doivent revenir à sa bêtise pour la balayer et livrer aux congolais la bonne information qui leur est d'ailleurs un droit.
Le dernier forfait d'un affamé : Joël Cadet se trompe d'adresse en diffamant un bon Citoyen, Louis WATUM.
Les derniers bruits distillés partout sur les RS ont été la résultante du passage à une émission télévisée par Joël Cadet. Visiblement, les motivations de cette émission était de ternir l'image du ministre de l'Industrie et du Développement des Petites et Moyennes entreprises (PME), Louis WATUM KABAMBA, alors que l'homme n'est resté que dans la stricte observance de ses prérogatives et d'ailleurs, avec une largesse il a accordé au DG suspendu son temps de défense et de repentance. Nos investigations menées à l'Agence Nationale du Développement et de l'Entrepreneuriat (ANADEC) nous révèle que la situation était morose. Agents, conseil d'administration et comité syndical, tous étaient lassés de la mégestion du Directeur Général Godefroy KIZABA AMKAMPESE. De nos câbles, nous avons pu obtenir le procès verbal de la réunion extraordinaire du conseil d'administration de l'ANADEC du 10 février 2025. Dans ce document de 30 pages que nous avons consulté, la page 8 peut suffisamment éclairer l'opinion sur la mauvaise conduite du superbe DG révoqué de ses fonctions. Entre les lignes nous pouvons lire : " La gestion de l'Agence est fortement déstabilisé par les actes et décisions illégales prises unilatéralement par le Directeur Général. La situation financière est jugée critique, plusieurs fautes de gestions sont dénoncées. Il a été rappelé le refus quasi systématique du Directeur Général d'exécuter les décisions du conseil d'administration et parfois même récuser la compétence de la tutelle. À ce titre, il a été démontré par plusieurs courriers dont lecture a été faite par la Présidente du Conseil ainsi qu'à la Représentante de la tutelle sur les invectives peu courtois enfreint d'insubordination sur les décisions de la hiérarchie alors que les missions et les pouvoirs de chaque organe sont clairement définis par les statuts."
Devons au regard de cet extrait tiré du procès verbal rejeter la faute au ministre WATUM qui n'est venu intervenir qu'en aval en sapeur pompier avec toute impartialité ? Faudrait alors être juste disciple de la médiocrité, de la bassesse, de la concussion et de toutes les mauvaises mœurs pour passer à une émission prendre la défense de celui qui cause la frustration de tous. Les agents, le conseil d'administration et le syndicat sont tous aussi inscrits dans l'erreur pour motiver le ministre à sa prise de décision et seul est saint Godefroy KIZABA AMKAMPESE, il y a de quoi réfléchir.
Clairement, c'est sur base de plusieurs remarques formulées à l'endroit du DG Godefroy qui sont restées impertinentes à ses yeux que toutes les structures avaient atteint le ministre de tutelle pour trouver gain de cause.
Père de famille et bon manager, prêtant oreille à toutes les tendances, le ministre Louis WATUM avait suspendu à titre provisoire le DG, lui laissant la lattitude de présenter ses moyens de défense dans les 90 jours de sa suspension. C'est en manque de raison juste et percutante, à part le fait de vanter ses affinités avec le Président de la République, que le sale besogne d'un journaliste en perte de valeur était sollicité pour saper l'image d'un des lieutenants de Félix Tshisekedi.
Pour clouer finalement l'affaire, le conseil d'État a tranché sur cette affaire de suspension que Godefroy KIZABA trouvait injuste et irrégulière. En date du 21 mars dernier le conseil d'État a rendu une ordonnance en matière référé liberté sous R.O.R 1205 telle que notifiée aux différentes parties par le Greffier en chef Jules Mathieu EKATOU LIMBELE le 25 mars, la requête de Godefroy était jugée irrecevable.
Cela n'a pas pu faire taire le Catilina du Cicéron qui sans bonne investigation tient mordicus vilipender l'image du ministre de l'industrie et PME.
Le souci est plus celui de livrer la bonne information au public que de peindre le profil d'un étudiant chassé à l'Université Cardinal Malula pour des fautes graves. S'il s'agissait d'un travail impartial d'un professionnel de médias, l'affamé devait tomber sur le procès verbal du Conseil d'administration de l'ANADEC et l'ordonnance du Conseil d'État déclarant l'irrecevabilité de la requête du DG Godefroy KIZABA AMKAMPESE. Plus que l'eau de roche, il paraît clair que Joël Cadet a joué au petit garçon de courses pour des fins pécuniaires au détriment de la bonne information que les congolais méritent. La presse congolaise mérite plus que ce profil des journalistes.
BCD